Une étude publiée par des chercheurs népalais alerte sur la possible formation de gigantesques vagues dans l’ensemble montagneux asiatique.
C’est une des scènes marquantes du film-catastrophe 2012 : le mont Everest et ses 8 848 mètres d’altitude envahi par les eaux. L’image relève pour beaucoup de la science-fiction, mais elle semble, à une échelle moindre, de plus en plus crédible pour les scientifiques. Le journal Le Parisien relève, dimanche dans ses colonnes, cette inquiétante prédiction. Une étude très sérieuse de chercheurs basés à Katmandou, au Népal, explique que la plus grande chaîne de montagnes de la planète se réchauffe huit fois plus vite que la moyenne mondiale. Résultat ? Une crainte de plus en plus grande de voir se créer de vastes tsunamis, causés par la rupture de réserves d’eau douce formées par la fonte des glaciers himalayens