Si la tectonique des plaques a permis de bien comprendre les différents contextes géodynamiques à l’origine de la surrection des chaînes de montagnes, la mise en évidence des processus à l’oeuvre au sein même des chaînes en formation reste difficilement accessible sans une modélisation adaptée. Les modèles analogiques développés par Jacques Malavieille chercheur à Géosciences Montpellier (INSU-CNRS, Université de Montpellier 2) ont permis d’identifier les principaux, en particulier l’impact de l’érosion sur la dynamique du soulèvement. Dans un article de synthèse paru dans la revue américaine GSA Today, il fait le point sur les processus à l’oeuvre et nous éclaire sur quelques aspects de la formation de trois chaînes emblématiques les Alpes, Taïwan et la Montagne Noire.
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Photo C.Larcher/CWN/Kairn.com