Des rats de laboratoire sur l’Everest

Parti ces jours à la conquête du Mont Everest, un groupe d’alpinistes devrait rapporter de son expédition une moisson de données cruciales à propos de maladies chroniques, en particulier cardiovasculaires.

Avec la raréfaction de l’air induite par l’altitude viennent en effet la difficulté de reprendre son souffle, l’accélération du rythme cardiaque et l’amenuisement d’oxygène dans le sang, des symptômes que l’on retrouve chez des personnes lambda souffrant de dysfonctionnements cardiovasculaires.

Depuis leur arrivée au Népal, les alpinistes sont équipés de capteurs qui surveillent constamment leur activité cardiaque et sont soumis à une batterie de tests poussés. Le projet est une initiative de la Mayo Clinic, une entité privée dédiée à la recherche scientifique.

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