Du loup et du sanglier au menu des chasseurs des Alpes-Maritimes

« Sur le plan législatif, nous sommes parvenus, avant la fin de cette mandature, à faire voter, à la quasi-unanimité, deux lois majeures : une sur la chasse, une sur les armes. Ce qui démontre, encore une fois, qu’il n’y a pas une chasse de droite, une chasse de gauche, une chasse du centre, mais seulement une chasse démocratique que l’on veut accessible au plus grand nombre.»
 
Huit millions d’euros le coût du loup !
 
Au cœur des préoccupations: le loup qui, grâce à la gestion des ongulés par les chasseurs, a trouvé un véritable garde-manger ce qui a permis son développement exponentiel. « Seule une gestion permettrait de stopper le développement de cette espèce protégée, qui coûte annuellement 8 millions d’euros aux contribuables français. Dans la période de crise que nous traversons, est-ce bien raisonnable ? », s’interroge le président Baudin.
 
Christian Estrosi, président de la métropole Nice Côte d’Azur, toujours présent aux travaux des chasseurs, n’a pas ménagé ses encouragement aux chaseurs : « Dans la défense de la ruralité, l’élevage, l’agriculture de montagne et la chasse représentent des enjeux économiques majeurs pour l’aménagement du territoire qui sont, eux aussi, perturbés par le loup. La reconnaissance des fédérations de chasse dans les instances décisionnelles est également une avancée. L’image de la chasse s’est améliorée au fil des années… »

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