Des porteurs et des guides de montagne du Parc Régional Aconcagua, se plaignent de ne pas être payés par les entreprises qui dominent le secteur.
Sans syndicat, souvent étudiants, ils sont victimes des abus des grands prestataires de service du Géant des Amériques.
Aymara et Inka sont deux des entreprises sous le feu des critiques.
Chaque années, le flux de trekkeurs et de candidats au Toit des Amériques baisse de 5 à 10%.
Après l’arlésienne du refuge de l’Aconcagua, transformé en refuge puis finalement abandonné, les coulées de boue de cette année et maintenant les actions légales des travailleurs contre leurs employeurs, il serait peut être temps que le parc fasse le ménage.