Guide de haute montagne : un travail physiquement exigeant

L’été, il n’est pas tous les jours en montagne, mais presque. Entre l’escalade, les courses d’alpinisme, on a plus de chance de le trouver entre deux sommets, plutôt qu’à L’Argentière-la-Bessée, où il réside. Sébastien Constant est guide de haute montagne depuis 15 ans. “Plus les clients ont de compétences, plus ils peuvent nous sortir d’un mauvais pas”
« J’essaie de garder deux jours libres, chaque semaine, pour les consacrer à ma famille », spécifie Sébastien Constant.
Chaque été, le planning reste chargé pour le guide de haute montagne. « Au début de l’été, il y a souvent moins de travail. Mais au fur et à mesure que la saison avance, on s’approche du rush (sic). Les guides qui n’ont pas d’activité complémentaire essaient de faire leur chiffre d’affaires à ce moment-là. »

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