Hier, la Fédération française des clubs alpins était en congrès à Alpexpo : Le refuge de l’Aigle au cœur des interrogations

Hier à Alpexpo, pendant le congrès annuel et l’assemblée générale de la Fédération française des clubs alpins et de montagne (FFCAM), deux refuges alpins ont été au cœur des débats : le Goûter et l’Aigle.
Le refuge de l’Aigle, c’est cette petite bicoque posée à 3 450 m de hauteur, sur une arête du massif des Écrins, au pied de la Meije (Hautes-Alpes).
Il a été construit en 1910 avec des matériaux montés à dos d’homme. C’est le dernier vieux refuge des Alpes en activité : il peut accueillir jusqu’à 18 personnes en plus du gardien.
Ce refuge est à présent « dans un état plutôt délabré ». À tel point que le Caf (Club alpin français), qui en est propriétaire, craint qu’il ne s’écroule. Du coup, il y a bientôt sept ans, la fédération a lancé un projet de reconstruction.
Prenant compte de la valeur historique du bâtiment, la solution choisie a été de le reconstruire à la même place et à l’identique, le plus possible.
Deux entités cependant s’opposent à ce projet : la Fondation Petzl et une association, les Amis du refuge de l’Aigle. Ils ont lancé une

pétition pour la préservation du refuge, qui a été signée par près de 3 000 personnes.

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Le site pour sauver le refuge de l’Aigle

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