Rares sont les grimpeurs qui ont échappé à la blessure : ruptures de poulie sur une arquée, entorses du genou sur une grosse lolotte, luxation de l’épaule après un méga balan et on en passe… Les exemples de situations accidentogènes en escalade ne manquent pas, malheureusement. Quelles sont les conséquences psychiques de ces blessures sur le grimpeur ? Comment l’entourage peut-il prendre en charge ce douloureux vécu ? La Fabrique Verticale fait le point.