Parcs naturels, lynx, loup: on nous spolie sournoisement de nos terres agricoles nationales

Laissons leurs territoires aux peuples européens !

Maintenant, toute l’Europe est couverte de «parcs nationaux» et les peuples européens se voient spoliés de manière rampante de régions entières, surtout frontalières ou transfrontalières. Et ce qui échappe au contrôle des habitants, ce ne sont pas des terres incultes mais des villages habités et leurs infrastructures, leurs fermes, leurs PME, leurs institutions culturelles et leurs coutumes, tout ce dont la population a besoin pour vivre dignement. Car dans ce monde écologique merveilleux qu’est l’UE, les hommes et leur bien-être n’occupent pas la première place. Il faut avant tout des terres pour les loups, les lynx et beaucoup d’autres êtres vivants au profit desquels les besoins de l’agriculture et d’autres formes d’activité humaine, voire de vie humaine, doivent passer au second plan. La protection de la biodiversité devient-elle un prétexte au dépeuplement de régions, à l’exode rural et aux projets de l’économie planifiée évoqués par Jean-Christophe Rufin dans son roman «Globalia»?
En Allemagne aussi les habitants des régions concernées considèrent comme une menace les procédés des idéologues des parcs naturels et de l’introduction des loups. Ce qui est problématique, ce ne sont pas les parcs naturels et les parcs nationaux des années 1950-1960 mais le programme radical – dont l’application est déjà très avancée dans tous les Etats membres de l’UE – de la directive 92/43/CEE du Conseil européen du 21 mai 1992 sur «la conservation des habitats naturels ainsi que des espèces de la faune et de la flore sauvages», plus généralement appelée Directive Habitats Faune Flore (HFF).

En savoir plus….

Photo : Image d’un parc naturel : une liste d’interdictions et de contraintes pour les habitants des territoires concernés

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