Deux propriétaires de centrales hydroélectriques à Oloron-Sainte-Marie et Arthez-d’Asson sont mis en demeure par la préfecture d’effectuer des travaux sur leurs passes à poissons pour la qualité de l’eau.
Continuité écologique. Deux mots qui font frémir les propriétaires de la centaine de barrages hydroélectriques recensés dans le département. Issue de la loi sur l’eau adoptée en 2006, cette disposition vise établir « un bon état écologique des eaux en 2016 ». L’évolution de la qualité des eaux est en effet notamment suivie grâce au comptage des poissons. Les passes à poissons leur permettent de franchir un obstacle, en les attirant à un endroit précis de la rivière.
« Les obstacles infranchissables ont un impact fort sur les espèces », observe David Barracou, technicien à Migradour
- Voir également : Remous dans le Gave