Les guides de haute-montagne et les randonneurs le confirment: près du col du Chioula, de Pradel ou de Pailhères, ils ont souvent croisé des cueilleurs de gentianes.
Pas de familles, ni de touristes à l’horizon. Mais plutôt des équipes de saisonniers afférés, qui souvent ne parlent pas français.
Cette plante aux fleurs d’un jaune intense (dont on connaît surtout le goût amer dans les apéritifs) serait peut-être bien plus précieuse qu’on ne le pense…