10èmes rencontres de la cinémathèque de montagne : les inscriptions ouvertes

Les 10èmes rencontres de la cinémathèque de montagne auront lieu les 21-22-23-24 novembre 2018 au Quattro à Gap. Et vous pouvez dès à présent y inscrire vos films.

Il peut s’agir de documentaires sportifs, d’aventure, d’expédition, d’exploration, ethnographiques, historiques, et de témoignages. L’important au fond : qu’ils aient un lien avec la montagne.

Deux prix récompensent les films sélectionnés :

  • le prix de la cinémathèque (price money de 2 000 € + trophée)
  • le coup de cœur du jury (price money de 1 000 € + trophée)

Les inscriptions des films peuvent être effectuées en ligne sur le site internet. L’occasion de découvrir toutes les conditions de participation également. Il est également possible d’envoyer un mail avec les infos sur le film que vous voulez inscrire à cim@cimalpes.fr

« Le doigt de Dieu » et « Voyage de l’eau en Durance » en 2017

Pour rappel, en 2017, le prix de la cinémathèque avait été remporté par « Le doigt de Dieu » de Pierre Petit et et Laurent Cistac. Le coup de cœur du jury avait été à « Voyage de l’eau en Durance » de Frank Neveu.

Le doigt de Dieu s’intéresse à la Meije. Il s’agit du dernier sommet majeur des Alpes à être gravi par une cordée, qui plus est, française. En quoi une montagne comme la Meije est-elle source d’inspiration et quelles sont les formes de sa représentation ? s’interroge le film. Michel Serres, grand philosophe et conteur contemporain, accompagne le film en voix off et commenter chaque séquence de la traversée de la Meije, selon les thèmes du sublime, du temps, de la culture, du silence, de la mort, mais aussi du vivre ensemble et de la religion.

Des glaciers jusqu’à la mer, Voyage de l’eau en Durance propose un grand voyage contrasté des truites et du cincle pêcheur d’un torrent de montagne jusqu’aux rolliers, hérons et flamants roses de la Méditerranée. Le documentaire a nécessité deux ans de tournage au fil des eaux de la Durance, des Hautes-Alpes jusqu’en Camargue. Le réalisateur Frank Neveu certifie que toutes les images de ce film ont été réalisées avec des animaux libres et sauvages, en minimisant les dérangements et dans le respect de l’environnement. A ce titre, il est signataire de la charte image de La Salamandre.

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