Un loup empoisonné dans les Hautes-Alpes

Selon une note de la DREAL Rhone-Alpes dont nous avons eu connaissa nce hier soi, le louveteau retrouvé accidenté sur la commune d’Arvieux dans les Hautes-Alpes en décembre 2013 aurait été empoisonné.

Il est précisé :

« Les analyse toxicologiques qui viennent de nous être communiquées mettent en évidence un empoisonnement à la chloralose dont le seuil de concentration, et en l’abscence de proie retrouvée dans l’estomac, est incompatible avec une contamination relai. La teneur retrouvée est de nature à expliquer une baisse de vigilance de l’individu».

La conséquence :

«Ce loup est donc décompté du plafond défini par l’arrêté ministériel du 15 mai 2013.A ce jour, 10 loups ont été décomptés du plafond de 24».

Avec très probablement plus de 300 loups en France avec un taux de renouvellement de plus de 20% par an, pas de quoi s’inquiéter pour l’avenir de l’espèce.

Un phénomène qui s’emplifira

Face à la situation dramatique que vivent les éleveurs et bergers notamment en montagne (le pire etant dans les Alpes Maritimes et autour du Parc National du Mercantour)et l’impossibilité, depuis plus de 20 ans, à trouver des solutions efficaces, il n’est pas à exclure que ce type d’excès se développe.

Les mêmes excès d’obscurentisme se sont exposés récemment à l’occasion d’une réunion du Groupe National Loup comme en témoigne le communiqué de presse de l’association Eleveurs et montagnes qui s’interroge : ‘Le pastoralisme sacrifié sur l’autel du loup ?’

et cette page du blog du « loup dans le Haut Diois » qui estime que le député Christophe Castaner, Président du GNL ‘ne manque pas de touper’

Le Groupe National Loup est en principe fait pour créer le dialogue et l’échange pour résoudre les problémes. Dans la réalité, il semble de plus en plus évident, qu’il soit avant tout une sorte de leiu a palabre et de chambre d’enregistrement où les principaux acteurs, ceux qui sont co nfrontés aux problémes au quotidien ne sont pas entendu.

Pour les pratiquants de la montagne, mla situation n’est pas sans incidence notamment pour les randonneurs. Sujet sur lequel nous reviendrons car les chiens de protection ne sont pas les seuls riques.

Laisser un commentaire

5 − un =