La science nous a menti, il faut revoir les livres de physique/chimie, l’eau ne gèle pas toujours à 0°C ! Outre l’indécence de ce phénomène pour le corps scientifique, il pourrait y avoir un impact sur les consommations énergétiques de nos industries et en particuliers des fonderies.
L’âge de glace
Comment se forme la glace ? L’eau est un composé chimique constitué de deux molécules d’hydrogène pour une d’oxygène. L’eau, ou H20, prend de nombreuses formes, et dans le cas qui nous intéresse ici, elle peut se muer en glace, quand la température tombe sous le zéro fatidique, enfin pas toujours… La glace peut avoir plusieurs origines : celle qui provient de l’atmosphère apparaît le plus souvent sous forme cristallisée, d’aiguilles de glace, de grésil(1) ou de grêle. La glace peut également se former au sol, ainsi apparaissent le verglas, la gelée blanche ou les plaques de glace. Même la surface de la mer peut être prise par les glaces pour donner une banquise ; celle-ci, brisée et tourmentée par le vent, les marées et les vagues, peut prendre un aspect chaotique (le ‘pack’), à ne pas confondre avec les icebergs qui proviennent du glissement dans la mer des glaciers terrestres.
Bref, depuis le collège, nos professeurs de Physique n’ont cessé de nous affirmer, via des formules empiriques, que la matière existait sous trois formes distinctes (solide, liquide et gazeuse) et que la température de vaporisation ou de cristallisation de l’eau dépendaient directement de la pression atmosphérique. Traduction : au sommet de l’Everest, l’eau bout à environ 68°C contre 100°C au niveau de la mer. Et l’eau gèle en principe à 0°C, mais pas toujours… Le comportement de la matière ne dépend pas que de la température ou de la pression. Un nombre considérable d’autres paramètres tels que l’agitation thermique, la présence d’impuretés, les champs magnétiques, etc., ont été sciemment omis dans les équations standards par soucis de clarté et de simplicité… mais aussi par manque de connaissances.