« Si l’on veut contenir l’invasion, il va falloir mettre en commun compétences et bonnes volontés » avertit Jean-Claude Piron, adjoint en charge de l’environnement et du développement durable, un élu surnommé « M. Frelon » depuis que la mairie de Tarbes, à l’initiative de Gérard Trémège, a pris le problème à bras-le-corps, créant même un observatoire du frelon asiatique. La structure a été portée sur les fonts baptismaux en décembre 2010 et le conseil général s’associe à cette démarche. « La première phase consiste à demander aux communes de signaler des nids de manière à cartographier les colonies signalées dans tout le département » indique le référent de cet observatoire, destiné à lutter contre ce prédateur qui met en danger les abeilles et dont il ne faut pas s’approcher à moins de 5 m.