Les vautours viennent à 50 m de la maison dans les Pyrénées à Aspet en Haute-Garonne

Jacques Amilhat montre ce qu’il reste de son bélier, c’est-à-dire pas grand-chose. Il a été charogné par des vautours fauves, à une cinquantaine de mètres de sa ferme située quartier Micas.

« J’avais 49 bêtes dans l’enclôt. Je suis descendu à Aspet vers 10 h 30. Quand je suis remonté il était 13 h 30. Sur le moment, j’ai cru qu’il s’agissait d’un vol d’oies sauvages ou de cigognes. J’ai dit à ma femme il va faire froid. Mais le comportement des oiseaux m’a paru anormal. C’était des vautours qui étaient sur une de mes bêtes. Il y en avait quatorze. Le matin les voisins les ont vus tourner au-dessus de la pisciculture. C’était impressionnant. Je n’ai pas osé m’approcher. On a regardé avec des jumelles. Pendant que certains rapaces partaient avec un morceau du bélier, les autres fondaient sur la proie. Je ne comprends pas. Je n’ai pas de bête malade. »

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