Réchauffement climatique : un kairnaute répond à Werner Munter

Suite à l’article relatant les positions du spécialiste en avalanche Werner Münter concernant le rôle de l’homme dans le réchauffement climatique, de nombreux commentaires nous sont parvenus. Nous avons pris le parti de publier (avec l’accord son accord) celui de Jonathan, un grimpeur internaute de kairn en 3ème année d’étude ingénieur civil en Belgique (équivalent polytech).

Le problème est je pense plus profond que l’intérêt de l’article pour les rédacteurs du site, il se trouve plutôt sur la médiatisation (en vogue ces temps-ci) d’une pensée moderne remettant en cause le travail de milliers d’experts en la matière (le GIEC) et la pensée de la quasi-totalité des scientifiques. C’est comme ça qu’on en arrive à 35% des français se déclarant Climato sceptiques. Ce qui pose question quand on sait que 97% de la communauté scientifique pense le réchauffement d’origine humaine.

Le débat est intéressant bien sûr, mais il n’a pas sa place auprès du grand public, qui ne possède pas forcément l’esprit critique et le bagage scientifique nécessaire pour juger comme le démontre les commentaires dans les forums.

Les conséquences du doute

Il faut se dire que les conséquences du doute dans la population peuvent être désastreuses quand on connaît les enjeux du réchauffement à venir. Si les gens se disent « ah ben on n’est pas responsable du réchauffement, alors on s’en fout de faire des efforts ! », dans 100 ans nos enfants seront face à un problème insoluble (et il en va également de l’avenir de nos montagnes malheureusement) ! La situation actuelle nécessite une réaction immédiate, et ce n’est pas en publiant de tels articles qu’on va y arriver… Venons-en à présent à l’article à proprement parler,

Passons les en revue, les arguments de Werner Munter !

Tout d’abord il parle des pics de température précédant notre époque (notamment l’optimum médiéval), c’est évidemment pris en compte par les spécialistes et l’argument est facilement démontable

Le second argument (CO2 négligeable) ne suit aucune démarche scientifique et ne repose que sur son avis personnel (« Et on veut nous faire croire que cette infime proportion due à l’homme est une catastrophe? J’ai beaucoup de peine à le croire »).

Des modèles ulta complexes de modélisation du climat existent, et tiennent en compte de ces proportions de CO2 (très faibles j’en conviens).
Quand dans l’argument suivant, il vient avec le business derrière le GIEC, il oublie de parler des financements des sceptiques

« la thèse officielle contredit la seconde loi de la thermodynamique », c’est ici qu’on voit à quel point cette personne ne touche rien et n’a aucune crédibilité scientifique, là, on atteint des sommets ! (En bons alpinistes que nous sommes ).

Voir ici pour l’explication

Quitte à publier un sceptique, pourquoi pas choisir l’un dont les arguments tiennent un minimum la route ? Par exemple Murry Salby, qui lui est climatologue.
Je vais m’en tenir ici pour son argumentaire.

Jonathan

Pour aller plus loin sur le sujet

15 réflexions au sujet de “Réchauffement climatique : un kairnaute répond à Werner Munter”

  1. La terre d’aujourd’hui est la resultante de cycles depuis 4,5 millards d’années, n’est pas limite de faire des prévisions basées sur l’analyse des 150 dernières années ?

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  2. Le GIEC et sa théorie du réchauffement du à l’homme…le plus grand mensonge de tous les temps !!! Hélas il faudra sans doute beaucoup de temps pour que « ça sorte »…

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    • t’as vrillé complet mec…qu’est-ce que tu gagnes dans cette histoire? je ne comprend pas l’intérêt d’être climato-sceptique quand on est un minimum intelligent et documenté. Tu dois sûrement être ni l’un , ni l’autre.

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      • On peut être en désaccord et rester parfaitement courtois. Le tutoiement accentué par la vulgarité de l’expression ne vous rend pas très crédible quand à la qualité de votre documentation et votre intelligence.
        Bien à vous Monsieur

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  3. Dommage que ceux qui n’acrédite pas le réchauffement du à l’activité humaine ‘e nous fasse pas profiter des résultats de leurs recherches élaborés car c’est trop facile et inutile de seulement dire « le plus grand mensonge de tous les temps !!! »

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    • bonjour, savez vous que les personnes membres du GIEC ne sont pas des experts? le terme expert n’apparait qu’en français, on ne peut donc pas dire que ce sont des sachants.
      on ne sait pas si ces personnes ont des intérêts financiers dans cette affaire, mais ce que l’on sait c’est qu’un lobby existe pour promouvoir un gouvernement mondial qui asservira l’homme et que le principal instigateur est un dénommé Mr SORROS!

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  4. Un comique qui n’a pas compris qu’ à peu près personne ne remet le réchauffement climatique en question s’il existe, ils ne font pas climato- septique, ils considèrent simplement que le réchauffement climatique est un phénomène naturel contre lequel l’homme ne peut rien,pas plus qu’il n’en est la cause.

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    • Vous avez raison, nous ne sommes pas forcément climato-septique mais ce qui nous préoccupe ce sont les centaines d’agglutinés du GIEC qui pompe l’argent public (nos impôts) pour des salaires mirobolants. Il y a suspicion !

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  5. BONJOUR A TOUS .
    C’EST AUTHENTIQUE QUE LE CLIMAT CHANGE , PERSONNE NE PEUT LE NIER , ET CELA VA ALLER DE PIRE EN PIRE , MAIS VOS SCIENTIFIQUES OU CLIMATOLOGUE DEVIENNENT STUPIDE DEVANT DIEU , CE NE SONT QUE DES SBIRES A LA SOLDES DES GRANDS GROUPES POUR SE FAIRE DE L’ARGENT ! SOIT AVEC LES AUTOMOBILES ELECTRIQUES OU LES NOUVELLES TENDANCES POUR FABRIQUER DE L’ENERGIE . FRANCHEMENT VOUS CROYEZ QU’ILS VONT CHANGER QUELQUE CHOSES AVEC LEURS ARGUMENTS . RIGOLADE !

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  6. On a beau être ingénieur en 3ième année mais il faudrait que ce jeune homme comprenne que dans son discours et ses remarques, il ne fait pas du tout du boulot d’ingénieur.
    Dire que les propos d’une personne sont fausses est une chose … les démontrer par la preuve en est une autre et est le but d’un ingénieur.
    Bon … l’article date du 5 mai 2014 … il a dû sortir de l’école ce petit …. Qu’est-il devenu ? On le saura sûrement jamais car il se cache derrière un prénom et n’a le courage de mettre son nom de famille voire sa faculté.

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  7. Avant de faire porter le supposé réchauffement climatique sur le dos du CO2, je voudrais que l’on m’explique comment il est possible que cela soit dû à une élévation du taux de Co2 dans l’air. Ce taux a été longtemps de 400 parties de CO2 pour 1 million de molécules d’air, maintenant, il est d’environ 415 parties par million de molécules d’air, C’EST PEANUT !! Une élévation de 15 parties pour un million ne représente rien et expliquer un réchauffement climatique avec ça relève de la plus pure foutaise, voire de l’escroquerie.

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  8. Sur 10 commentaires déposés à ce jour, 8 climatosceptiques, ce qui dépasse de très loin leur pourcentage déjà trop élevé dans l’ensemble de la population.
    Voilà une nouvelle illustration du phénomène maintes fois observé sur d’autre sujets : la propension à la mobilisation en masse des tenants de l’obscurantisme et de l’ignorance péremptoire qui va avec.
    Il serait long et fastidieux de réfuter les « arguments » de ces climatosceptiques, car comment la rationalité ne peut rien contre le complotisme et le mépris affiché contre la science de haut niveau, cf entre autres  » les centaines d’agglutinés du GIEC qui pompe l’argent public (nos impôts) pour des salaires mirobolants. »
    Pour les « arguments » climatosceptiques qui se veulent scientifiques, à titre d’exemple signalons à M. ou Mme Roche que les carottes glaciaires permettent de reconstituer l’histoire du climat jusqu’à plus de 700 000 ans.

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  9. C’est article n’apporte aucune démonstration contraire et quand on clique sur une explication…Not Found.
    Je reste avec mes questions quant aux causes réelles.

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  10. je vous invite à lire un livre très intéressant sur ce problème d’apporter des preuves que le réchauffement climatique du à l’homme est une foutaise:
    Réchauffement Climatique (enquête sur une manipulation mondiale) de Alban d’Arguin. livre très documenté et d’arguments vérifiés!

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  11. Extrait de vulgarisation et traduction d’un article scientifique: Changement climatique précessionnel, cyclique et global sur Terre
    25.02.2023 – 7:30
    Changement climatique précessionnel, cyclique et global sur Terre | Printemps russe
    Le réchauffement (ou refroidissement) global sur Terre ne provient pas d’un gaz « à effet de serre », comme certains le pensent, mais de la précession de la planète.

    Une augmentation (ou une diminution) de la température moyenne de l’eau et de l’air sur Terre est causée par la précession, c’est-à-dire un phénomène astronomique dans lequel l’angle d’inclinaison de la planète par rapport au Soleil change.

    Pendant la précession sur la Terre, les zones et le temps de chauffage de la terre et de l’eau par les rayons du Soleil changent de manière cyclique. Le climat est la hauteur du soleil au-dessus de l’horizon.

    « Aristote m’a appris à satisfaire mon esprit uniquement avec ce que le raisonnement me convainc, et pas seulement l’autorité des enseignants. Telle est la puissance de la vérité : vous essayez de la réfuter, mais vos attaques mêmes l’élèvent et lui donnent une grande valeur. (XVIe siècle, philosophe italien, physicien, mathématicien Galileo Galilei).

    Le matériel expliquera pourquoi sur tous les continents de la Terre de manière cyclique, selon la grande « année platonicienne », il y a un changement climatique mondial.

    Le climat en traduction de la langue grecque ancienne signifie littéralement « inclinaison » – l’angle d’inclinaison de la surface de la Terre par rapport aux rayons du Soleil.

    Plus récemment, dans la nuit du 12 décembre 2015, la Conférence interétatique de l’ONU sur le climat, baptisée COP-21, s’est achevée en grande difficulté à Paris. La conférence a réuni des représentants de 195 pays, dont de nombreux hauts fonctionnaires des États. Comme l’ont rapporté les médias mondiaux, les négociations ont été extrêmement difficiles en raison de nombreux désaccords.

    Les participants à la conférence ont résolu les problèmes de répartition des quotas de production pour le CO2 « à effet de serre » (dioxyde de carbone). Sous prétexte de lutter contre les « gaz à effet de serre », il est prévu d’éliminer des concurrents en fermant des entreprises prometteuses dans les pays en développement.

    Les organisateurs de la réunion avaient un objectif de grande envergure – la concentration de la production et de l’argent entre les mains de grands monopoles, et finalement leur domination complète dans la sphère de la production. Le prétexte externe plausible de la conférence était un « bon objectif » – empêcher la température sur Terre d’augmenter de plus de deux degrés par rapport à la fin du 19ème siècle.

    Cependant, n’ayant obtenu aucun résultat en cinq ans (le monde entier ne pourrait pas changer la température d’au moins un centième de degré), maintenant à nouveau en Ecosse, à Glasgow, en novembre 2021, une nouvelle « Conférence des Nations Unies » (COP- 26) a eu lieu sur le même sujet.

    La conférence de Glasgow a réuni 25 000 délégués de 200 pays et environ 120 chefs d’État. Malgré le grand nombre de participants à la conférence mondiale, les gens du monde entier ne savent toujours pas pourquoi il y a un réchauffement ou un refroidissement sur la Terre.

    Les chefs d’État prévoient d’énormes dépenses dans leurs budgets, qui ne pourront en aucun cas affecter la température de la Terre, mais ne leur causeront que des dommages matériels, car les fonds jetés littéralement «à la poubelle» pourraient être dépensés sur d’autres objectifs raisonnables, par exemple sur l’environnement .

    Venons-en maintenant au fait et parlons des raisons du changement de la température moyenne de l’air sur Terre, de ce qu’on appelle « l’effet de serre ».

    Si la COP-21 de la conférence « serre » de Paris et la COP-26 écossaise se tenaient sur une île de Papouasie-Nouvelle-Guinée et que ses participants étaient des sauvages des villages environnants, alors ils seraient pardonnés avec condescendance.

    Parce qu’il y a plus de deux mille ans encore, les astronomes de l’Égypte ancienne ont découvert le phénomène de précession, dans lequel l’axe de la Terre par rapport à l’inclinaison du Soleil se déplace en cercle. Connu de beaucoup depuis l’enfance, le jouet « top » (yula) avant de s’arrêter, commence à se balancer, plus il ralentit, plus il se balance. Le même phénomène se produit avec la Terre et s’appelle la précession.

    En raison de sa rotation autour de son axe, la Terre n’a pas le temps de surchauffer et de se refroidir, et donc une variété de vie existe sur elle. Plus la Terre ralentira la rotation, plus elle vacillera et plus les changements de température se produiront (le temps changera plus brusquement).

    Et quand la Terre s’arrêtera, alors d’une part, tournée vers le Soleil, elle aura un désert de sable chaud, et d’autre part, un désert froid et enneigé. La lune, par exemple, ne tourne plus ni en précession ni autour de son axe, elle est tournée vers la Terre d’un côté.

    La terre en rotation autour de son axe ralentit son mouvement. La décélération est une valeur variable et est actuellement d’environ mille ans. 0,1–1 seconde.

    La terre, au cours de sa rotation amortie, oscille comme une toupie, substituant une place ou une autre au Soleil. Exactement de la même manière qu’une personne, se réchauffant auprès d’un feu, se tourne vers le feu avec l’un ou l’autre côté.

    Même les anciens Grecs appelaient le mot « climat » l' »inclinaison » des rayons du soleil vers la surface de la Terre.

    Quelle est la signification de l’angle d’inclinaison des rayons du Soleil par rapport à la Terre, tout le monde comprend, en observant le changement cyclique des saisons de l’hiver à l’été et vice versa dans toute la variété des changements météorologiques. Même les changements de température quotidiens dépendent de la hauteur du Soleil au-dessus de l’horizon, sans parler de son changement global au cours de l’année.

    Tous les changements de temps sur Terre dépendent entièrement de la place que le Soleil occupe dans le ciel (c’est-à-dire de l’angle d’inclinaison des rayons du Soleil par rapport à la surface de la Terre).

    Dans la précession de la Terre, une rotation complète de l’axe de la planète dans un cercle (360 degrés) se produit en 25920 ans (en 72 ans pour 1 degré). L’angle de déviation de l’axe de la Terre (par rapport au centre conditionnel) lors du balancement de la planète est de 23 degrés 27 minutes.

    Qu’est-ce que 23 degrés de latitude sur Terre ? 1 degré de latitude (longitude) de la Terre est égal à 111,1 kilomètres.

    En conséquence, 23 degrés et 27 minutes – 2600 kilomètres. C’est sur le globe, approximativement, la distance entre la Suède et Chypre.

    L’angle entre l’inclinaison maximale et minimale de la Terre par rapport au Soleil dans la précession de la planète est deux fois plus grand et est déjà de 46 degrés et 54 minutes – 5200 km. Et c’est approximativement la distance entre le cercle polaire arctique et l’Afrique.

    Tout le monde comprend qu’un temps (et une température) sur Terre (en particulier dans l’hémisphère Nord) sera lorsque la Terre exposera la côte de l’Afrique aux rayons du Soleil. Et complètement différent, quand au même angle d’inclinaison sous les mêmes rayons chauds – les rives nord de la Sibérie et de la Scandinavie.

    Il est également clair que dans ce cas aux latitudes polaires de la Russie, de l’Amérique du Nord, du Groenland, de la Scandinavie, il n’y aura plus de nuit polaire longue et froide, le Soleil s’y lèvera haut et il y aura la même chaleur qu’aujourd’hui dans le nord Afrique.

    Et faites attention au fait que le facteur d’inclinaison de la Terre par rapport au Soleil n’agira pas pendant une courte période, comme avec le changement climatique annuel de l’hiver à l’été, mais l’influence se produira pendant des milliers d’années ! Beaucoup, beaucoup, beaucoup d’années de réchauffement progressif ou dans la direction opposée du mouvement de la planète – refroidissement.

    Les anciens Égyptiens et Grecs appelaient le cercle complet de la rotation précessionnelle et de l’oscillation de la planète (25920 ans) la grande année de la Terre (« année platonicienne »). Une année est comme une année, seulement plus qu’une vie humaine – avec tous ses changements climatiques mondiaux.

    Ainsi, la précession (changement d’inclinaison de la Terre par rapport aux rayons du Soleil) a le seul effet important, global et cyclique sur les changements climatiques.

    Entièrement et complètement, le temps (climat) sur Terre (température, humidité, niveau d’eau dans les océans du monde, flore et faune, et tout le reste) ne dépend pas de l’opinion des participants à la conférence sur les gaz « à effet de serre » à Paris ou Glasgow, mais sur le phénomène astronomique de la précession, c’est-à-dire d’un changement à long terme, pendant des milliers d’années, de l’inclinaison de la planète Terre par rapport au Soleil.

    La quantité totale de chaleur du Soleil à la surface de la Terre est inchangée au cours de la grande année platonicienne. Mais la chaleur est répartie (absorbée ou réfléchie) sur la Terre en fonction de l’angle d’inclinaison de la position de précession de notre planète de différentes manières.

    Quant à la température moyenne sur Terre (augmentation ou diminution du volume des gaz « à effet de serre »). – Par exemple, plus vous faites chauffer une bouilloire d’eau sur la cuisinière, plus il en sort de vapeur. L’eau bout non pas du fait que de la vapeur est libérée, mais du fait que la bouilloire est en feu. Il en va de même pour la Terre – plus le Soleil la chauffe (dans son ensemble), plus la température moyenne de la terre, de l’eau et de l’air est élevée.

    Au nord de la Terre (dans l’hémisphère nord), de grands espaces sont occupés par des terres (Sibérie, Amérique, Groenland), et dans l’hémisphère sud, il y a plus d’eau dans la zone (océans Pacifique, Indien, Atlantique, Austral).

    La terre des rayons du soleil absorbe plus de chaleur et l’eau (mers et océans) moins.

    Lorsque l’inclinaison de la Terre change en précession, les zones de terre et d’eau chauffées par les rayons du soleil changent (augmentation ou diminution en termes de pourcentage), ce qui modifie généralement la température moyenne sur Terre.

    Lorsque la Terre est inclinée vers le Soleil par l’hémisphère Nord, alors relativement plus de zones terrestres au Nord sont chauffées par les rayons du Soleil, ce qui signifie que la température moyenne de la planète augmente à partir de cela. Lorsqu’en précession l’inclinaison de la Terre vers le Soleil recule, la zone chauffée des terres (nord) diminue et la zone de chauffage de l’eau dans les océans de l’hémisphère sud augmente. L’eau, en revanche, reflète davantage l’énergie des rayons solaires, c’est-à-dire (en général) le processus de refroidissement de la planète qui se poursuit.

    La connaissance de la géologie indique que les périodes glaciaires sur Terre se sont répétées plusieurs fois et que la dernière période glaciaire s’est terminée il y a environ 10 à 12 000 ans.

    Malgré les périodes cycliques de refroidissement et de réchauffement sur Terre, aucune conclusion n’en a été tirée, à en juger par les conférences de Paris et d’Ecosse.

    Le phénomène de la précession de la planète dans la grande « année platonicienne », dont parlaient il y a plus de deux mille ans les Égyptiens et les anciens Grecs, n’a pas encore été compris par l’humanité. Leçon « scientifiques » pas apprise !

    La coquille de glace pendant les périodes de glaciation dans l’hémisphère nord est parfois descendue à la latitude des villes modernes de Kiev, Berlin et Londres.

    La Scandinavie, la Baltique, le Canada et la Sibérie étaient recouverts de plusieurs mètres de glace et de neige. Par endroits, la glace était la même qu’aujourd’hui en Antarctique.

    En raison du fait qu’une énorme masse d’eau terrestre sur les continents du nord était liée et concentrée dans la glace, couvrant une grande étendue d’Eurasie et d’Amérique, à partir de là, le niveau des océans du monde était de 100 à 200 mètres inférieur à celui d’aujourd’hui.

    Ce qui est maintenant inondé d’eau était autrefois la terre. Par conséquent, le pétrole est trouvé et produit au large des côtes sur les plateaux continentaux. Si sur l’île de Svalbard au-delà du cercle polaire arctique dans le nord de la Russie, en Sibérie, on extrait du charbon et du pétrole, alors il y avait auparavant une végétation luxuriante.

    Le charbon et le pétrole se trouvent en couches et en couches – c’est-à-dire qu’il faisait alternativement chaud et froid, chaud et froid. Cela signifie que l’Arctique a été chaud plusieurs fois dans l’histoire de la Terre…

    Réfléchissons maintenant… Si le refroidissement a eu lieu il y a 10 à 12 000 ans (et que la moitié du grand cercle de l’oscillation de la Terre est de 12 960 ans), alors pendant le mouvement de précession de notre planète, le pic de chaleur dans l’hémisphère nord n’a pas encore été adopté. La vraie chaleur (son pic) sera dans un à trois mille ans. Jusque-là, il continuera à se réchauffer.

    Ce réchauffement se reflétera comme suit.

    Par exemple, les pluies interminables de l’été en Europe sont causées par le soleil qui réchauffe les terres de plus en plus étendues de l’hémisphère nord. Tous les 72 ans, la bande de terre chauffée du Nord s’agrandit de 111 km (c’est-à-dire de 1 degré de latitude).

    Il en résulte une fonte intensive des glaces du Groenland et de l’océan Arctique, accentuée par l’évaporation de l’humidité et son retour sur Terre sous forme de pluies prolongées. Cela élève le niveau d’eau dans les plans d’eau ouverts et les aquifères souterrains.

    Beaucoup ont entendu parler (vu au journal télévisé) d’une énorme fissure qui s’est formée sur le sol en Afrique. On l’a aussi surnommée la « scission du continent ». C’est la même manifestation du réchauffement de la planète, mais son effet se manifeste en Afrique.

    Si toute «l’année platonicienne» (25920 ans) est divisée en 12 «mois», alors maintenant dans notre hémisphère nord, selon «l’âge de la précession», environ «mai-juin», c’est-à-dire juste le début du printemps la fonte des neiges, le début de l’été.

    Le passage du pic de chaleur lors de la précession sur Terre « en juillet » surviendra dans 1 à 3 mille ans, et par inertie pendant environ quatre mille ans de plus, « août-septembre » sera très chaud. Vous pouvez imaginer et prévoir les conséquences de cela.

    Les déserts modernes se déplaceront plus haut vers le nord, les steppes d’aujourd’hui s’assècheront, les zones forestières modernes se transformeront en steppes, les marécages de la toundra s’assècheront et se couvriront de forêts de feuillus. L’océan Arctique sera modérément chaud. Les hivers dans le Nord seront sans neige. Au cours des mille prochaines années, la glace fondra dans tout l’hémisphère nord, et le niveau global des océans du monde augmentera considérablement à partir de cela.

    Avec la fonte de la glace du nord sous les rayons du soleil, l’eau fondue va se réchauffer.

    L’eau chaude du nord emportera et fera fondre la glace côtière de l’Antarctique par les courants océaniques, brisant d’énormes icebergs du continent glacé, ce qui augmentera encore le niveau global de l’eau dans les mers et les océans. Cela se produit déjà maintenant.

    En conséquence, de vastes zones des côtes modernes et des villes côtières du monde seront profondément sous l’eau.

    Mais vous ne devriez pas vous inquiéter de tout cela aujourd’hui – lorsque la glace du Nord fondra dans 1000 à 2000 ans, à ce moment-là, il y aura d’autres valeurs et priorités dans la vie de l’humanité.

    Personne ne sait aujourd’hui jusqu’à quelles valeurs la température moyenne sur Terre s’élèvera dans notre première, comprise par la conscience humaine, actuelle « année platonicienne » lors de l’inclinaison maximale de l’hémisphère Nord aux rayons du Soleil.

    Les « scientifiques de Paris » ne connaissent toujours pas l’évolution de la température de la Terre associée à la précession, et ne comprenant pas les causes du réchauffement, ils entendent faire face à l’enquête en inventant des mesures pour lutter contre les gaz « à effet de serre » (« avec la vapeur que la bouilloire émet lorsqu’elle bout »).

    Par exemple, ils proposent de créer artificiellement une bactérie qui, selon leur idée, mangera du dioxyde de carbone dans l’atmosphère (peut-être ont-ils déjà commencé cela quelque part dans les laboratoires). Ce n’est pas une plante toxique de berce du Caucase, élevée par des « scientifiques », à partir de laquelle nos contemporains ne peuvent pas trouver le salut.

    Les conséquences du changement ont de longues chaînes de liens réciproques. Vous ne serez pas épargné de la voracité des bactéries avec un « masque covid ». Le vent transportera des bactéries autour de la planète, et elles seront imparables. Les bactéries (en moyenne) se multiplient, doublant de façon exponentielle toutes les 20 minutes. C’est-à-dire que toutes les quatre heures, ils sont multipliés par 1000 ! 1, 1000, 1 million, 1 milliard, 1 trillion et ainsi de suite.

    Lorsque les « scientifiques » libèrent les bactéries dans la nature (ou même accidentellement lors de leur fabrication une bactérie s’échappe de l’éprouvette), alors, se multipliant à l’infini, ils vont capturer tout l’espace de la planète en un ou deux jours et dévorer tout le dioxyde de carbone dans l’atmosphère et dans l’eau, ce qui rendra la composition de l’air et de l’eau impropre à la vie.

    Ainsi, les bactéries détruiront la vie sur Terre. Par exemple, dans le long métrage « Kin-Dza-Dza », sorti en URSS en 1986, réalisé par G.N. Danelia, la planète sans vie « Khanud » est représentée, sur laquelle l’atmosphère a été détruite. Les « savants parisiens » peuvent faire de même avec la Terre, sans comprendre eux-mêmes les conséquences de leurs actes.

    Les 20 dernières minutes du dédoublement des bactéries, lorsqu’elles mangent du dioxyde de carbone sur Terre, seront la fin de la vie de tous les organismes vivants et de l’humanité. Dans ces 20 minutes, les gens sur Terre vont suffoquer, en même temps ne comprenant pas ce qui leur arrive…

    Ici et maintenant, j’introduirai un nouveau terme dans la vie quotidienne des concepts – « savants parisiens » – ce sont ces « savants » qui, cachés derrière des diplômes universitaires, sont un bastion de l’ignorance, au service de l’intérêt personnel et du capital , à qui la raison et la vérité sont étrangères.

    Le comédien Molière écrivait à leur sujet : « Quand un homme en toge et casquette parle, alors tout non-sens devient apprentissage, et toute bêtise devient discours raisonnable.

    L’activité des « scientifiques parisiens » présente un danger bien plus grand pour la vie sur Terre que le changement précessionnel naturel de la température de la planète.

    Bien sûr, il est possible de simuler la situation sur un ordinateur, de mesurer et de calculer au fil des ans les zones de réchauffement cycliquement changeantes de la terre et de l’eau, mais en changeant le climat, c’est-à-dire la rotation de la planète, l’inclinaison de la Terre par rapport au Soleil et au changement de température associé à la précession, est au-delà du pouvoir de l’humanité.

    Comme le dit le proverbe russe: « Et la jument ne prend pas la charrette au-delà de ses forces. » La situation doit être acceptée avec humilité, tout comme la présence du Soleil et des étoiles dans le ciel.

    Après 1 à 3 000 ans, après avoir atteint le pic de chaleur dans l’hémisphère nord, la Terre dans son mouvement de précession s’inclinera dans la direction opposée. Et dans 13 000 ans, il atteindra le « pic de froid ». L’hémisphère nord connaîtra à nouveau une ère glaciaire.

    La Scandinavie, l’Europe du Nord, la Sibérie et l’Amérique seront recouvertes d’une épaisse couche de neige et de glace, peut-être plusieurs centaines de mètres ou plus. L’eau de la Terre va se concentrer dans ces glaces, le niveau des océans va encore baisser de cent à deux cents mètres.

    À partir des immenses glaciers du nord de l’hémisphère nord, il deviendra très froid. La côte de l’Antarctique pendant la période de « pic de froid » peut être quelque peu dégagée de glace et sera (le long de la côte) un continent vert habitable. Ainsi, sur Terre, chaque grande « année platonicienne » précessionnelle (pour les 25920 années actuelles) se produira de manière cyclique.

    L’humanité est encore jeune dans la connaissance. En fait, il en est à ses balbutiements et vit sa première vie consciente dans l’histoire de la Terre. L’humanité ne fait que faire ses premiers pas, elle apprend le monde, donc tout ce qui se passe sur Terre, tout pour apprendre arrive pour la première fois.

    La perception réelle des processus (l’inclinaison de la Terre en mouvement de précession, qui affecte vraiment et seulement sérieusement le climat de la Terre) permettra d’économiser plusieurs milliards de fonds de dépenses insensées dans les économies du monde.

    L’humanité peut être un observateur heureux du changement climatique précessionnel sur Terre avec des périodes cycliques de réchauffement et de refroidissement. Mais il ne verra peut-être rien de tout cela si, d’abord, par son propre égoïsme et son égoïsme, avec l’aide des « savants parisiens », il se détruira dans la lutte intestine.

    Par exemple, pour la redistribution des quotas industriels de dioxyde de carbone, pour modifier la composition de l’atmosphère avec des bactéries artificielles, ou (en raison du manque de démocratie dans les pays du monde) – dans les guerres thermonucléaires pour l’argent, le pouvoir et les ambitions des dirigeants.

    PS Les raisons du changement climatique de la précession de la Terre sont simples. La hauteur du soleil au-dessus de l’horizon n’affecte que la température. Ainsi, de tous nos temps, il fera toujours chaud à l’équateur en Afrique, et il fera toujours froid aux pôles, là où les rayons du Soleil glissent obliquement sur la surface. Les enfants le comprennent aussi.

    L’oscillation maximale de l’axe de la Terre en précession par rapport au Soleil (du maximum au minimum pour « l’année platonicienne » de 25920 ans) est de 46 degrés et 54 minutes. Autrement dit, de 46 degrés et 54 minutes pour « l’année platonicienne », la hauteur du Soleil change au-dessus de l’horizon sous toutes les latitudes et sur tous les continents.

    Par conséquent, la zone de chauffage de la terre et de l’eau et le temps de chauffage de la planète changent globalement, de manière cyclique, et à partir de là, la température moyenne de l’air, de l’eau et de la terre sur Terre.

    C’est facile quand on explique. Mais attention, 90% (!) des gens, y compris les « scientifiques parisiens », vivent un jour. Ils ne savent rien de « l’année platonicienne » ou de l’amplitude de précession de 46 degrés. Et ceux qui ont entendu quelque chose n’ont jamais mis ces concepts ensemble et ne les ont pas corrélés avec le climat …

    « La vérité doit être constamment répétée, car les illusions sont prêchées tout autour de nous tout le temps. Celui qui se rebelle contre les vérités rationnelles allume leur feu ; des étincelles volent partout et allument la lumière. (Gœthe).

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