Tom Grossmann est décédé en 2007 à l’âge de 27 ans. Tom était un passionné de montagne, de neige et d’escalade. Originaire d’Alsace, il évoluait principalement dans les Alpes — le Vercors et les Écrins en particulier.
Sa soeur Suzanne, dans l’espoir de retrouver des petits bouts de lui, tape tape de temps en temps son nom dans Google. Mais amoureux des grands espaces comme il l’était, il ne passait pas son temps devant un écran et n’a laissé que peu de traces virtuelles.
D’où son idée de créer un site contributif, où chaque personne qui a croisé le chemin de Tom peut déposer un souvenir (photo, texte, son, vidéo…), ou venir de temps en temps profiter des souvenirs déposés par d’autres.
Si un jour vous avez croisé le chemin de Tom, n’hésitez pas a partager vos souvenirs sur http://uncairnpourtom.com
J’ai connu … Maëlle, Jean-cristophe, Tom… Tomeuleu (désolé pour l’orthographe)… Petit homme… Mon père….
J’en passe, et j’en oublie, forcément. Le « géant vert » qu’était Tom à mes yeux (malgré mes nombreuses crises, et j’en ai traversé en sa présence…), cette image m’a « porté », jusqu’à ce jour… Comme les yeux de ma sœur…
Il y a (avait, mais je crois qu’on peut aussi encore parler au présent), du céleste, dans ces vies, du « lourds », du « silence » qui nous plombe chaque jour un peu plus, ou nous oblige à aller de l’avant, dans leur disparition…
C’est le ciel qui a bleuit, le coulis de l’eau et du rêve qui s’est tu, un oiseau qui est parti…
Des fragments de vie, que je n’oublie pas, seul, dans mon camion. Mes salutations à Jean, Monique, Suzanne, et Lise (j’en oublie, désolé, sûrement… Et à Simon, qui (je l’espère), pourra peut-être lire. Salutations à Mandoo, Elsa, Martin… L’oeuf est éclot, et… je l’espère plein encore de rayons et de bonheurs, à venir, passés, et présents.
Je n’oublie pas. Merci tom, de m’avoir permis de faire semblant de grimper, une ou deux fois, je volais avec toi. Malgré… tout de… ceux que tu sais. Je revenais de R. Une cigarette partagée avec… ton sosie dans le train. Au retour… Tu n’étais plus là. Lady d’Abanville. Les Bancs. Les Bancs d’écol (où je me suis planté). Le saule… Abattu. Le souvenir; la joie, la vie, restant. Y.