Le départ se fait tranquille dans les sous bois. Puis nous arrivons dans une petite clairière d’où nous visualisons la suite de l’approche jusqu’à l’arête.
Nous entamons ensuite un bon morceau de pente qui nous sèche gentillement. Dans cette même pente nous appercevons un groupe de chamois qui gambade.
Nous atteignons l’arête par la pointe sud. Nous nous encordons. Laurent passe devant et nous progressons corde tendue, à l’assaut de notre kilomètre d’arête.
C’est agréable, ni trop chaud, ni trop froid. Le ciel est couvert mais une fenêtre nous dévoile le lac d’Annecy que nous surplomboms de loin.
En prenant un peu de hauteur au fil de notre marche alpine nous distinguons nettement le massif des Aravis, plein Est.