En attendant les résultats des analyses, qui, seules, pourraient établir la responsabilité éventuelle d’un loup sauvage, les chasseurs du Haut-Rhin sortent de leur silence et n’excluent pas une réintroduction « artificielle » du prédateur.
Alors qu’une agression suspecte contre un faon de cerf avait été signalée dans la vallée de Munster avant Noël et qu’à Saulxures-sur-Moselotte, le massacre d’une brebis gestante a encore été attribué au loup (sur place, on évoquait même deux agresseurs), vers le 20 janvier, la fédération des chasseurs du Haut-Rhin a, pour la première fois, pris position officiellement ce vendredi.
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