Presque deux mois que les deux randonneurs du Val d’Esquierry sont portés disparus. Les gendarmes du Peloton de gendarmerie de haute montagne de Luchon orientent chaque entraînement dans le secteur, à la recherche d’un indice. Des secours qui trouvent des conditions toujours difficiles avec de nombreuses avalanches de fonte. La prudence reste de mise, comme l’explique le lieutenant Olivier Renard, commandant le PGHM de Luchon.
Vous poursuivez les recherches ?
Nous menons nos entraînements et notamment de recherche en avalanche, sur la zone où les deux randonneurs bordelais ont disparu, en hélicoptère ou à pied. Nous parcourrons régulièrement la montagne vers le Monségu et le Val d’Esquierry, toujours à la recherche d’un indice visuel qui pourrait nous permettre d’engager un chantier de recherches. Nous ne laissons pas tomber, loin de là.
Montée au lac d’Oo hiver et printemps