Connectés au réseau, déconnectés de la nature

Les amateurs de plein air qui croient ne jamais être livrés à eux-mêmes grâce aux technologies sans fil, multiplient les imprudences.

Un récent article du New York Times  faisait le bilan des comportements étranges, voire dangereux, que développent certains visiteurs des parcs nationaux américains, à cause de l’usage de plus en plus répandu des appareils portables. Ce « bêtisier » va du plus cocasse — un randonneur transi qui appelle les Rangers sur son cellulaire pour commander un chocolat chaud au sommet d’une montagne — au plus tragique — un jeune qui meurt dans les rapides du Colorado pour filmer une vidéo extrême destinée à un concours sur internet.

De ce côté-ci de la frontière, on est loin de la cote d’alerte dans le réseau de la Société des établissements de plein air du Québec (SÉPAQ) : par exemple, moins de dix interventions de ce type en un an au Parc National de la Gaspésie, seulement quelques appels de randonneurs au 911 depuis le Parc National du Bic.

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