Couloir du Goûter : quand le son des trompettes de la renommée couvre le bruit des chutes de pierres.

Qu’on croit ou non au changement climatique, il est évident que ce mois de juin restera dans les mémoires.

Sécheresse et chaleur obligent, le couloir du Goûter a pris son aspect de fin d’été, déstabilisant nos habitudes et nourrissant nos appréhensions. L’ensoleillement maximum a rapidement eu raison de la mince couche de neige d’altitude et déjà des crevasses se révèlent avant même les premières pentes du Dôme du Goûter. Bref, nous autres guides sommes soucieux d’autant que curieusement, on a rarement vu autant de demandes pour gravir ce sommet à cette époque pré-estivale.

La situation que nous venons de connaître est-elle pour autant plus périlleuse que celles qui étaient courantes il y a encore une quinzaine d’années ?

Lire l’article de Denis Crabières

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