Après avoir écumé les spots du monde entier lors de leurs diverses pérégrinations, une bande de grimpeurs surmotivés, originaire de France, du Canada et du Mexique vient de créer Grimpeurs Sans Frontières.
Cette association, à but non lucratif, entend contribuer au développement de l’escalade dans les zones où les moyens humains ou matériels manquent.
Comment ? En connectant via son site internet Grimpeurs sans Frontières, les grimpeurs porteurs d’un projet de développement de l’escalade et le reste de la communauté.
Besoin de matériel ou de technique pour équiper une falaise? De bras pour ouvrir un nouveau chemin d’accès? De fonds pour créer une compétition? De chaussons pour une école d’escalade? Chacun pourra publier son projet sur le site internet et entrer en contact avec les grimpeurs motivés pour les aider.
Qu’est ce que GSF?
Cette aide peut prendre plusieurs formes en fonction des projets 😕
• la collecte et l’envoi d’équipement (chaussons, casques, cordes, broches, etc.) pour aider à la création ou au développement d’un site ou d’une école d’escalade
• la recherche du soutien financier ou logistique de sponsors privés ou publics dans le cadre d’un projet
individuel (expédition) ou collectif (compétition)
• l’organisation de missions sur place animées par les grimpeurs expérimentés et sur-motivés de GSF pour transmettre aux grimpeurs locaux leurs techniques d’équipement ou de rééquipement de falaise
GSF se veut être une passerelle entre les grimpeurs. Chacun pourra suivre l’avancement de chaque mission: le type de matériel collecté, les sommes récoltées ou encore le nombre de personnes présentes sur place pour donner un coup de main.
Publier un nouveau projet est simple, très intuitif et bien entendu gratuit.
Amis grimpeurs, libre à vous maintenant de vous appuyer sur GSF pour contribuer au développement de l’escalade dans le monde.
Kairn s’associe à cette belle intiative et sera partenaire de l’association.
Un projet de récolte de fonds au Laos et deux futurs projets d’équipement au Sénégal et de rééquipement au Mexique sont déjà à l’ordre du jour…