Toco, l’homme-chien japonais, poursuit son rêve d’animal avec une nouvelle étape : il se fait des amis à quatre pattes et continue de vivre sa passion de manière inédite.
Une passion de plus en plus assumée
Il y a plus d’un an, l’histoire de Toco, ce Japonais qui a dépensé 14 000 euros pour devenir un chien, avait fait le tour du monde. Le costume ultra-réaliste de colley qu’il avait acheté lui avait permis de réaliser son rêve : vivre comme un chien. Cet investissement incroyable lui a permis de se fondre dans l’animalité qu’il chérit tant, et le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il ne fait pas les choses à moitié. Ses aventures, qu’il partage sur sa chaîne YouTube, l’ont vu aller encore plus loin dans son rôle d’animal.
En mars dernier, Toco a franchi une nouvelle étape dans son quotidien de canidé en s’achetant une cage géante pour dormir, fidèle à son aspiration à vivre comme un véritable chien. Mais la dernière évolution de son expérience a de quoi étonner : Toco a récemment été promené en laisse pour la première fois. Cela pourrait sembler surprenant, mais pour lui, chaque étape dans ce processus est une nouvelle façon de s’immerger pleinement dans son rôle d’animal.
De nouveaux amis à quatre pattes
Plus tôt ce mois-ci, l’homme-chien a connu une autre grande première : il a fait des amis canins. Dans une vidéo intitulée « Je veux être un animal », on voit Toco interagir avec d’autres chiens dans un parc. Renifler, jouer et se comporter comme ses compagnons à quatre pattes a amusé les passants, qui se sont montrés curieux et intrigués par ce personnage peu commun. Bien que son comportement puisse surprendre, il est clair que Toco s’épanouit dans ses interactions avec ses nouveaux amis, canins et humains. La scène est touchante, illustrant à quel point il est connecté à son rêve de vivre en tant que chien.
Une passion difficile à assumer
Bien que Toco semble pleinement engagé dans son rôle, il reste discret sur cet aspect de sa vie. En effet, il craint le jugement de son entourage. « Je ne veux pas que mes hobbies soient connus, surtout par les gens avec qui je travaille », a-t-il avoué dans une interview. Dans un autre entretien, il a confié au Daily Mirror qu’il n’était pas encore prêt à parler de son passe-temps à ses amis proches. « Je le dis rarement à mes proches parce que j’ai peur qu’ils me trouvent bizarre », a-t-il expliqué.
Malgré son côté excentrique, Toco semble se battre contre ses propres angoisses sociales, et il est parfois réticent à partager ses passions avec ceux qui l’entourent. À ses amis et sa famille, qui ont été étonnés d’apprendre qu’il avait adopté un mode de vie aussi particulier, il préfère garder une certaine discrétion.
L’histoire de Toco illustre l’engagement total d’un homme dans son rêve, mais aussi les difficultés d’assumer une passion peu comprise par la société. Cela soulève des questions sur la manière dont nous percevons les passions et les comportements atypiques dans un monde souvent peu tolérant à la différence.