L’économie en soutien de la sauvegarde des forêts, j’y crois pas trop

De nombreux articles et thèses tentent d’estimer le coût qu’entraîne la destruction de la nature. Le but : prouver qu’on a davantage intérêt à préserver nos écosystèmes à long terme plutôt que de privilégier des profits à court terme. Ils prennent l’exemple de ce que rapporte une forêt sur un hectare. Cela peut sembler bizarre, mais ainsi, en estimant la valeur économique d’une forêt, le citoyen comprend tout ce qu’il a à perdre de façon concrète.
Par exemple, l’exploitation intensive du bois dans la forêt amazonienne rapporte de l’argent mais les catastrophes écologiques qui risquent de s’ensuivre auront un coût infiniment plus  important. Les catastrophes naturelles coûtent plus chères au final que les mesures de préservation anticipatrices mises en place pour les empêcher.
 

D’après les experts, le stockage et la fixation du CO2 est ce qui rapporte le plus : 529 € à l’hectare. La promenade est estimée à 200 €, car le bien-être humain a une valeur économique élevée !

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