Suite au décès de notre icône Patrick Edlinger, le journal Le Monde s’est intéressé sur l’évolution sportive et les conséquences de l’institutionnalisation de notre discipline depuis 30 ans. La marchandisation de l’activité et l’apparition des pans corrélée au développement des compétitions et de l’entrainement a conduit les grimpeurs se détourner du caillou au profit de séances en indoor dans une ambiance aseptisée. Et la culture se perd. Une question fort pertinente demeure : Où est passé le bon sauvage de l’escalade ?
‘Que reste-t-il aujourd’hui de l’esprit des origines, rebelle, un brin mystique, dans ce sport devenu mature, qui aspire à rejoindre les Jeux ?’