Un guide obligatoire pour descendre la Vallée Blanche car c’est la même problématique en hiver ? Voilà vers où un précédent pourrait amener, est ce souhaitable ?
Au delà des petits intérêts professionnels du microcosme alpin, l’alpinisme mérite t-il cela ?
La montagne s’américanise.
Avec Yannick Vallençant nous pensons depuis quelques années qu il faut responsabiliser et autonomiser les pratiquants en s’inspirant de ce qui se fait en plongée sous marine avec des niveaux de capacité permettant d’évoluer sur des terrains adaptés aux connaissances des skieurs et alpinistes.
Cela permettrait de garder une liberté responsable.
Et ensuite un autre débat, on pourrait imaginer facturer des secours voir réglementer l’accès à ceux qui refusent le concept de skieur ou d’alpiniste libre et autonome.
Voilà un beau projet, pas facile à mener qui grandit tout le monde.
Pour le déséquipent du Gouter, a t on oublié les chutes fréquentes observées dans le passé ?
Régulation du trafic avec d’un côté déséquipent, de l’autre création d’un 2ème refuge ? Faudra t il vérifier, par la pédagogie de l’erreur, les nombreux dévissages du Gouter pour finalement être très content de rééquiper l’itinéraire ?
Nul ne sait…
Le Mont Blanc est décidément un sujet inépuisable…
Yan Raulet
Sans la montagne et la mer l’horizon De l’homme c’est un plat pays. Nous devons respecter tous les hommes qui se surpasser même au péril de leur vie. Les bureaucrates, les sécuritaires ne doivent pas nous dicter notre conduite ici ou ailleurs qu’ils restent dans leur salon doré payé par nos impôts.
Les hommes ont vitalement besoin de la montagne et de la mer « espace libre ».
Cordialement
« Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »
Benjamin Franklin