Ce n’est pas très nouveau mais encore fallait-il le formaliser officiellement. Pas très évident….
Nous nous souvenons que du 27 décembre 2010 au 4 février 2011, le Préfet des Pyrénées-Atlantiques avait lancé une consultation publique sur le projet d’introduction d’une ourse en Béarn. L’affaire avait fait grand bruit, les esprits s’étaient échauffés, des réunions et manifestations avaient été organisées chez les pros comme chez les antis « importation d’ours ». Au final, il n’y aura pas d’ourse de lâcher en raison de la sécheresse qui affectait l’agriculture française. Mais était-ce la vraie raison ?
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La réalité du terrain est bien différente de la vision et la représentation infantile que peut se faire les associations environnementalistes (Cf. communiqué du 10 septembre de FERUS et ADET ) qui ont sans doute d’autres objectifs idéologiques et financiers que la biodiversité pyrénéenne. Aujourd’hui, la réponse est claire : la cohabitation n’est pas possible et l’acceptation sociale n’existe pas. Quant à la biodiversité, c’est le Comité de massif qui s’en charge et non plus les seules associations. Maintenant, il serait peut-être urgent de travailler sur d’autres bases sérieuses avec les véritables acteurs des territoires de montagne dans toute leur diversité.