Après Georges Sonnier qui évoquait son cousin germain, c’est au tour de Pierre Dalloz d’esquisser un portrait du très grand artiste que fut Samivel. Nous sommes en 1927. Dalloz dirige alors le Syndicat d’initiative de Grenoble. Samivel n’est encore que Paul Gayet, un gamin de 20 ans qui aime la montagne et qui cherche des revues susceptibles de publier ses dessins. Des dessins un peu naïfs comme celui-ci :